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HEIDI LEVASSEUR TRAVERSERA L’ATLANTIQUE À LA NAGE: UNE PREMIÈRE MONDIALE

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REVUE DE PRESSE

L’Atlantique à la nage en 2018 pour Heidi Levasseur

Publié le jeudi 25 juin 2015. Elle compte relever le défi en 2018.

 La « marathonienne en eau libre » partira de la Nouvelle-Écosse et suivra le courant Gulf Stream pour arriver sur la côte ouest de la France. Je prévois une centaine de jours, à 50 km par jour, et toujours des séquences de trois journées de nage, une journée de congé. Heidi Levasseur, nageuse en eau libre

Heidi Levasseur devra se trouver un équipage de 12 à 15 personnes.  Les coûts estimés sont de plus de 500 000 $.

En attendant, celle qu’on surnomme la sirène du Québec nagera pour une troisième fois de Montréal à Québec. Son départ est prévu le 29 juin.

Heidi Levasseur annonce qu'elle veut traverser l'Atlantique à la nage

Heidi Levasseur annonce qu’elle veut traverser l’Atlantique à la nage.   Photo : Radio-Canada

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Publié le 18 juin 2015 à 05h00 | Mis à jour le 18 juin 2015 à 05h00

Heidi Levasseur se dit prête à traverser l’océan à la nage en 2018

La nageuse en eau libre Heidi Levasseur a... (Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve)

La nageuse en eau libre Heidi Levasseur a l’idée bien arrêtée de traverser l’océan Atlantique à la nage après avoir maîtrisé une fois de plus le fleuve Saint-Laurent. Photo, Le Soleil, Jean-Marie Villeneuve

  • <p>Jean-Nicolas Patoine</p>
Jean-Nicolas Patoine
Le Soleil
QUÉBEC — Heidi Levasseur se mouille : si tout va bien, elle traversera l’Atlantique à la nage en 2018! «Peu importe ce que ça va prendre, je suis prête à affronter les obstacles», lance-t-elle.

Elle en rêve depuis quelques années, mais la menue nageuse de 35 ans a annoncé ses intentions, mercredi à Lévis. «Si je ne me fixe pas d’objectifs clairs, ça n’arrivera pas», reconnaît-elle. Ce périple de 5000 kilomètres l’obligera à nager pendant au moins une centaine de jours à coup de six à huit heures entre chaque dodo. Selon nos recherches, elle deviendrait la première femme à réaliser pareil exploit.

Elle pourra bien sûr se reposer sur un bateau qui l’accompagnera tout au long de l’aventure, véhicule qu’elle souhaite d’une taille semblable au Sedna IV, une goélette de 51 mètres de long. Une douzaine de personnes l’accompagneront : préparateur physique, médecin, cuisinier, matelots, bénévoles, capitaine, caméraman… Elle compte partir de la Nouvelle-Écosse et emprunter le courant océanique Gulf Stream, direction la France.

Levasseur admet que l’attention accordée à Mylène Paquette, qui a franchi ce même océan à la rame en 2013, lui sert de motivation. Leurs périples n’auront toutefois rien de semblable. Contrairement à Paquette, la nageuse sera dans l’eau et elle n’aura pas à s’occuper de tous les aspects techniques de la navigation, la tâche de son capitaine.

Projet de 500 000 $

Si la traversée s’annonce périlleuse et épuisante, un autre défi d’égale importance attend Levasseur d’ici là : rassembler les 500 000 $ qu’elle estime essentiels à l’aventure. «C’est vraiment un minimum pour avoir tout le nécessaire», croit la native de Cap-Rouge et résidente de Trois-Rivières.

C’est donc à la fois pour s’assurer d’une visibilité et pour garder la forme qu’elle nagera de Longueuil à Lévis, à partir du 29 juin. Une randonnée de 250 kilomètres que Levasseur a déjà réussie deux fois. L’an dernier, elle avait mis sept jours (un peu plus de 36 heures de nage) pour y parvenir. Cet été, six jours lui suffiront, espère-t-elle, afin de compléter ce «beau parcours préparatoire» pour l’Atlantique. Elle retrouvera la terre ferme au parc de l’Anse-Tibbits.

Levasseur a réussi sa première traversée du lac Memphrémagog alors qu’elle n’avait que 15 ans. L’été suivant, elle domptait le lac Saint-Jean. Elle connaît bien le Saint-Laurent, puisqu’elle a nagé de Québec à Matane en 2011 et de Gatineau à Montréal en 2012.

Elle a le soutien de son copain, aussi un amateur de nage. Ils se sont rencontrés à la piscine et s’entraînent souvent ensemble. «On ne va pas tout à fait à la même vitesse», rigole Levasseur, qui s’accroche parfois à la taille une ceinture munie d’un frein, donnant ainsi une chance à son amoureux.

«J’essaie de m’entourer de gens qui veulent autant que moi», affirme-t-elle en revenant sur son grand projet. «Pour ne pas me laisser décourager par ceux qui disent que ce n’est pas possible.»

Les premières activités de financement se dérouleront samedi prochain et le 5 juillet – date prévue de l’arrivée de Levasseur à Lévis – au bar Le Petit Prince de Saint-Romuald. Pour plus d’information:www.heidilevasseur.ca.

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  • Entrevue | Heidi Levasseur JOURNAL DE MONTRÉALr

    On l’appelle la sirène du Québec

    Après ses exploits maritimes au Québec, elle veut traverser l’Atlantique à la nage

    • Heidi Levasseur
    Photo courtoisie
    Marie Poupart

    Samedi, 23 août 2014 17:50 MISE à JOUR Samedi, 23 août 2014 20:19

    On l’appelle la sirène du Québec. À 15 ans, Heidi Levasseur a fait la traversée du lac Memphrémagog à la nage. Puis, à 16 ans, celle du lac St-Jean. Elle a aussi nagé entre Québec et Matane. Au cours de ses nombreuses aventures aquatiques, huit au total, elle a fait la rencontre de bélugas, de phoques, d’une baleine, et même d’un requin…

    Dernièrement, la marathonienne de 34 ans a parcouru pour la deuxième fois la distance de Longueuil à Lévis afin de récolter des fonds pour le réseau des Banques alimentaires du Québec. Aujourd’hui, elle songe à faire le voyage de sa vie: traverser l’Atlantique, un exploit qu’elle souhaite réaliser d’ici deux ans.

    Du 6 au 13 juillet dernier, vous avez, pour la deuxième fois, parcouru une distance de 250 km entre Longueuil et Lévis. Quel bilan dressez-vous de votre aventure ?

    Un bilan très positif. Nous avions révisé le parcours avec des capitaines d’expérience (elle est accompagnée d’un kayakiste et d’un capitaine à bord d’un bateau de 21 pieds). Cette fois-ci, j’ai mis 36 heures 15 minutes contre 48 heures en 2010. Il m’a fallu sept jours pour réussir, à raison de cinq à sept heures de nage par jour. L’an prochain, je compte bien le faire en six jours.

    Vous avez donc parcouru en moyenne une quarantaine de kilomètres par jour ?

    C’est exact. Si on fait le calcul, j’ai fait environ 72 coups de bras à la minute, ce qui donne près de 160 000 coups de bras en tout et pour tout.

    Quels furent les moments marquants de l’aventure ?

    La deuxième journée, entre Lavaltrie et Louiseville, j’ai eu particulièrement froid. Ça m’a inquiétée. J’ai même demandé à ceux qui m’accompagnaient de me trouver de la soupe. Elle m’a remonté le moral et j’ai finalement été en mesure de terminer ma journée.

    Vous est-il arrivé autre chose de significatif ?

    La troisième journée, j’ai souffert d’une tendinite au poignet gauche et je ne savais pas si j’arriverais à terminer. Je ne pouvais pas m’imaginer finir l’aventure avec un seul bras! Finalement, pendant la journée de répit prévue, mon massothérapeute a pris soin de moi. Il m’a soulagée et a stabilisé mon poignet avec un bandage.

    Avez-vous rencontré des endroits plus difficiles que d’autres sur le parcours ?

    J’ai connu des difficultés à la hauteur de Sainte-Anne-de-la-Pérade. Les embarcations ne pouvaient pas suivre en raison du peu de profondeur de l’eau. Alors, il a fallu que je m’enligne vers une maison sur les berges. Il y avait des rapides, ça m’a fait peur.

    Après une journée complète de nage, comment votre corps réagit-il ?

    Dans les journées plus difficiles, j’ai mal aux épaules, aux jambes et dans le bas du dos. Mais avec l’aide du massothérapeute, je m’en sors bien et j’arrive à poursuivre l’aventure.

    Avalez-vous beaucoup d’eau dans ces traversées ?

    Non, rarement. Je fais particulièrement attention dans le fleuve en raison de la piètre qualité de l’eau. En 2010, j’avais justement avalé de l’eau et j’ai dû m’arrêter deux jours à cause d’une gastroentérite.

    Que savez-vous justement, de la qualité de l’eau du fleuve ?

    Elle est remplie de particules indésirables, son apparence est opaque, verdâtre. Elle s’est améliorée depuis 20 ans, mais il faut continuer à être vigi­lant. Il n’est pas normal que l’on ne puisse pas se baigner dans l’eau du fleuve.

    Quelle est votre plus grande inquiétude lors de ces longues distances ?

    L’accumulation de la fatigue qui s’installe. Plus les journées avancent, plus ça devient éprouvant psychologiquement et physiquement. On se demande toujours si on terminera l’aventure ou non.

    Racontez-nous votre aventure la plus éprouvante ?

    Dans la rivière Saint-Maurice, il y a beaucoup de courants, entre La Tuque et Trois-Rivières, j’ai eu la frousse à deux ou trois reprises. Ça allait très vite et j’avais peur de frapper des roches. Je ne quittais pas le kayak des yeux et je n’aurais pas voulu me retrouver seule dans ces eaux.

    La traversée de Québec-Matane en 2011 m’a aussi donné du fil à retordre. J’ai parcouru 350 km en 14 jours de nage. J’ai trouvé l’épreuve particulièrement éprouvante en raison du froid, de la distance et de la fatigue accumulée.

    Que croisez-vous sur votre parcours ?

    Comme j’emprunte la voie navigable, je croise des bateaux, parfois des paquebots. Et même à 200 m, ils sont très imposants. Jamais un poisson ne m’a touchée jusqu’à maintenant. Je sais qu’ils sont proches, mais ils ont probablement peur de moi. Sinon, je touche des bouts de bois, des algues, des bouteilles d’eau, des cannettes de bière.

    J’ai rencontré des phoques. D’ailleurs, il y en a un qui m’a tourné autour. Il était à environ 10 pieds de moi.

    Avez-vous fait des rencontres terri­fiantes ?

    Oui, un poisson mort. C’est pour cette raison que les personnes qui me suivent font tout pour m’éviter des bancs de poissons morts. En 2010, lors de la traversée Longueuil-Lévis, j’ai bifurqué vers le lac Saint-Pierre, près de Pointe-du-Lac. L’eau était stagnante, il y avait des poissons morts et le capitaine a tout fait pour que je ne les voie pas.

    Êtes-vous déjà tombé sur des requins ?

    Nous en avons vu un dans la région de Matane, à un demi-kilomètre de moi. Il ne s’agissait pas d’un requin dangereux. C’est un requin qui se nourrissait de plancton, alors j’ai continué ma route. Sinon, à deux ou trois endroits, dans le coin de la Rivière-Ouelle et de Rivière-du-Loup, j’ai vu des bélugas. Ils étaient à 15-20 pieds de moi.

    Et comment avez-vous réagi ?

    J’ai été très impressionnée. J’ai même vu une baleine dans le coin de Trois-Pistoles. Là encore, elle était à 150-200 mètres de moi. Bien sûr, j’ai eu un peu la frousse. En même temps, je préfère ne pas penser à ce qui pourrait arriver sous l’eau, pour ne pas me déconcentrer!

    Votre objectif est maintenant de traverser l’Atlantique ?

    Oui, mais avec une grande sécurité. Je souhaiterais avoir, annexée au bateau, une cage de la grandeur d’une cuisine pour empêcher les requins de m’atteindre.

    Qu’est-ce qui vous motive à réaliser un tel exploit ?

    Au cours de ma dernière traversée, l’équipe a fait une grande différence. Ils étaient passionnés et ils m’ont bien encadrée. Ils veulent m’épauler dans mes prochaines aventures. J’avais déjà songé à traverser l’Atlantique dans le passé, mais c’est en discutant avec eux que l’idée m’est revenue.

    Quand croyez-vous pouvoir le faire?

    Je me donne deux ans avant de le réaliser. Je dois trouver le financement. Alors, je lance l’idée dans l’univers! On estime qu’un projet de la sorte peut coûter 500 000 $.

    Et quelle serait la durée d’une telle traversée ?

    De quatre à cinq mois environ. La distance représente environ 5000 km. Je partirais du golfe Saint-Laurent ou de la côte Est, de l’île du Prince-Édouard ou de la Nouvelle-Écosse, et j’arriverais en France. La distance me fait peur en raison des conditions météo. Il faudra aussi maximiser la sécurité pour que j’atteigne mes objectifs. Ma plus grande crainte est évidemment la fatigue et les blessures qui pourraient entraver le projet.

    Vous aimez vous surpasser ?

    Je veux toujours faire mieux et me dépasser. C’est le message que je lance dans mes conférences. Il est important d’avoir du courage et de la persévérance pour pouvoir réaliser nos rêves. Dans mon cas, le dépassement de soi est ce qui me nourrit. Si tout le monde avait le courage de réaliser ses rêves et d’en inspirer d’autres, la société s’en porterait mieux.

    Vous mettez votre corps à rude épreuve. Qu’est-ce qui vous motive à le faire ?

    Mon corps en redemande toujours. Il aime ça et je respecte ses limites. Je suis consciente que j’ai davantage d’endurance que le commun des mortels. J’ai trouvé où est mon potentiel, alors je l’exploite.

    Que ressentez-vous lorsque vous nagez sur une longue distance pour atteindre vos objectifs ?

    Je me sens vivante, car j’ai des objectifs à atteindre. En même temps, je me sens utile, car je nage dans le but d’amasser des fonds pour les gens dans le besoin. Mes exploits dépassent mes réalisations personnelles, car ma mission est également d’aider les autres.

    Qu’est-ce que l’eau vous fait ressentir ?

    Nager me procure un grand sentiment de liberté. J’ai l’impression d’être dans mon élément lorsque je suis dans l’eau. Lorsque je nage, j’essaie toujours d’atteindre cet état méditatif, cet équilibre mental et physique qui me permettra de nager de longues distances sans trop de difficultés. En d’autres termes, je ne fais qu’un avec l’eau.

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    Heidi Levasseur réussit sa traversée 2015

    Par Mélanie Labrecque melanie.labrecque@tc.tc . Publié le 6 juillet 2015

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    Heidi Levasseur est arrivée au parc de l’Anse Tibbits hier après-midi.

    ©TC Media – Mélanie Labrecque

    NATATION. La sirène du Québec, Heidi Levasseur, a réussi, pour une troisième année consécutive, l’exploit de nager les 250 km qui séparent Longueuil de Lévis, en 36 heures 30 minutes.

    «Ça s’est très bien passé, j’ai réussi le trajet en six jours», a-t-elle confié au lendemain de sa traversée.

    Même si elle n’a pas atteint l’objectif qu’elle s’était fixé de nager la distance en 35 heures, elle se réjouit d’avoir retranché une journée de nage par rapport à son exploit de l’année dernière.

    «Puisque je nageais plus longtemps, je ne pouvais plus profiter du courant des marées pour avancer. Je nageais moins vite», a-t-elle poursuivi. La froideur de l’eau a aussi pesé dans la balance puisqu’elle avait plus de difficulté à récupérer le soir.

    «Il a fallu que je change de combinaison pour les dernières journées de la traversée pour éviter d’avoir trop froid.» Il faut dire que la température du fleuve se situait sous la barre des 70 degrés Fahrenheit.

    La nageuse a dû également devancer sa journée de repos en raison des risques d’orages qui planaient sur le secteur de Louiseville, le 1er juillet.

    Traversée de l’Atlantique

    Rappelons qu’Heidi Levasseur souhaite traverser l’océan Atlantique à la nage d’ici trois ans. Elle est actuellement en campagne de financement pour récolter le demi-million nécessaire à la réalisation de l’exploit.

    Les deux activités de financement qui se sont déroulée au bar le Petit Prince de Saint-Romuald lui ont permis d’amasser un peu plus de 700 $.

    Publicité – Lire la suite de l’article ci-dessous

    À lire aussi: La sirène du Québec plongera vers l’Atlantique

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    • Heidi Levasseur veut traverser l’Atlantique
    Publié le 20 juillet 2015

    Le maire Gaston Arcand a accueilli la nageuse Heidi Levasseur à Grondines le 3 juillet.

    Heidi Levasseur n’a pas froid aux yeux. La première femme à avoir descendu le Saint-Laurent à la nage veut maintenant être la première à traverser l’Atlantique en 2018. Un défi de 2700 milles nautiques, rien de moins pour la nageuse qui a fait halte à Grondines le 3 juillet.

    • Heidi Levasseur a réussi une nouvelle étape vers son objectif en nageant en moins de jours qu’elle ne l’avait fait l’an dernier les 250 kilomètres entre Longueuil et Lévis. Partie le 29 juin, elle est sortie de l’eau le 5 juillet. Elle a relevé son défi en effectuant son périple en six jours plutôt qu’en sept, mais y a mis 36 heures et demie plutôt que 36 et un quart.
    Si l’an dernier elle avait fait halte à Portneuf, cette fois elle a pris une pause à Grondines le 3 juillet. La nageuse au long cours a effectué ce périple dans le but de faire connaître son projet et de trouver du financement.Heidi Levasseur a été la première femme à nager les 250 kilomètres qui séparent Montréal à Québec, en 2010. Elle a nagé la portion entre Québec et Matane en 2011.Pour obtenir plus d’information sur son projet et sa campagne, visiter son site Internetwww.heidilevasseur.ca.
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